L’administration , les syndicats Sud Travail et la CGT soutiennent le grand banditisme
Tous ces gens ( L’administration , les syndicats Sud Travail et la CGT) prétendent qu’un vol reconnu de marchandises, dans une entreprise, pour un montant de la modique somme de 50 000.00 € , reste une « affaire sans grande importance ».
Le voleur ( qui a avoué les faits) est : délégué du personnel !!!!!!!!!!!
De deux choses :
- ces « gens » souhaiterait légaliser le vol important et caractérisé dans les entreprises, comme il est pratiqué dans certains Conseils Régionaux de gauche ( mais à une échelle encore plus importante, sur le dos des contribuables).
- ces « gens » ont décidé de saboter les entreprises qui n’acceptent pas d’être rackettées.
Toujours est-il que ce patron courageux n’a pas l’intention de se laisser dépouiller par cette gauche dépravée, quand elle n’est pas alliée au grand banditisme comme à Marseille.
Il a entamé une grève de la faim le 8 novembre pour protester contre l'interdiction qui lui est faite de licencier l'un de ses employés, délégué du personnel, qui lui a dérobé environ 50.000 euros (reconnus) de marchandises.
P-dg de Gautier Entreprise, une PME de charpente (200 salariés) située à Pavilly, près de Rouen, Jean-François Marteau (54 ans) a entamé, le 8 novembre, une grève de la faim. Pourquoi cette démarche ? Il ne pouvait licencier l'un de ses employés, délégué du personnel, qui, dans le cadre d'une enquête de gendarmerie, a reconnu avoir dérobé environ 50.000 euros de marchandises à son employeur. Après diverses promesses non tenues, l'Administration, qui met en avant des erreurs de procédure et la « relativité du préjudice », n'a pas autorisé cette mesure.
L'entrepreneur a alors repris sa grève, interrompue le deuxième week-end de novembre. Cette initiative a reçu le soutien de la FFB Rouen-Dieppe dès son début et celui des salariés de l'entreprise. Ces derniers ont manifesté à Rouen dans un premier temps par des opérations « escargot » dans l'agglomération rouennaise. Puis devant le ministère du travail à Paris où ils ont été reçus le 22 novembre. Le soir même, le chef d'entreprise était hospitalisé au CHU de Rouen. Une réponse de Xavier Bertrand était attendue par Jean-François Marteau et ses employés « pour le 25 novembre au plus tard ». De leur côté, les syndicats Sud Travail et CGT dénoncent les « pressions subies » par leurs collègues de l'Inspection du Travail.
En 2009, Jean-François Marteau a créé France Watts. Spécialisée dans la production d'éléments photovoltaïques, cette filiale emploie déjà une vingtaine de salariés.
Commentaire:
Je souhaite vraiment qu'on vous laisse travailler sans avoir à craindre de vous faire escroquer avec la complicité de malfrats fussent-ils membres de l'administration ou représentants syndicaux.
Il faut savoir que ces derniers se sont installés au sein du service public sous forme de "fraternelles" qui bénéficient de l'argent public pour fonctionner ou plutôt s'enrichir à souhait.
Ils sont donc bien décidés à préserver, à tout prix, leur fonds de commerce.
Ne vous laissez pas faire par cette bande de malfrats qui n'ont qu'un seul but : saboter les entreprises qu'ils considèrent comme des .....parasites.
Leur cervelle est tellement atrophiée qu'ils ne se rendent même pas compte que leur emploi ne tient que si les entreprises subsistent, ce qu'un enfant de 5 ans comprend, évidemment.
Tenez bon et bon courage à vous et à vos employés.
J-C Ponson
ASSOCIATION CARLA (EN COURS DE FORMATION)
Il y a 4 mois
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