jeudi 18 février 2010

0060 Danielle Ringot , juge d'instruction, célèbre l'enterrement de 1ère classe de l'affaire du plus grand réseau pédophile connu

Publié par : Fondation Princesses de Croÿ & Massimo Lancellotti


SABOTAGE JUDICIAIRE CONNEXE À L'AFFAIRE CORAL, RELATIVE À 342 MAGISTRATS ET HAUTS FONCTIONNAIRES PÉDOPHILES, QUI ASSURENT DES FAUSSES ERREURS JUDICIAIRES POUR ESCROQUER DES MILLIARDS DE DOLLARS ET ANÉANTIR LES PLAIGNANTS. LES POTS DE VIN ATTEIGNENT 200 MILLIONS DE DOLLARS, CE QUI EXPLIQUE POURQUOI MARCEL VERVLOESEM EST À PRÉSENT EST EN DANGER DE MORT IMMINENTE, SANS QUE PERSONNE NE PRÉTENDE LUI SAUVER LA VIE. POURQUOI LE ROI, QUI N'A PAS BESOIN D'ARGENT, NE DIT-IL RIEN ?

ZANDVOORT: NON LIEU FRANÇAIS EN LIGNE
Morkhoven commente l'original du plus célèbre non-lieu de l'histoire, son propre dossier jugé en l'absence 80.000 pièces.

INTRODUCTION [1]

A Paris, le 9 avril 1999 Jacques Chirac, le Président de la République française, répond à Jan Boeykens, le président de l'ONG Morkhoven, qu'il a transmis le dossier Zandvoort à la Garde des Sceaux, Madame Guigou. La France possède un dixième du dossier sur un réseau de producteurs de photos de crimes réels sur des enfants, suivit par l'ONG depuis 1988 des Flandres belges, en Allemagne, au Portugal, en Hollande. Le parrain du réseau, un citoyen allemand résident dans la ville néerlandaise de Zandvoort, avait été assassiné avec l'arme d'un citoyen français qu'il employait pour l'acquisition de photos.

Le 20 mars 2003, Danielle Ringot requiert le plus célèbre non-lieu de l'histoire. Elle ne parvient à trouver que des innocents, mais classe le dossier "Secret Défense" avec interdiction d'y puiser.

En France, le juge d'instruction, la demoiselle Danielle Ringot en l'occurrence, est un magistrat chargé de diligenter des enquêtes judiciaires. Monsieur François Sottet, ici substitut du procureur de la République, représente le gouvernement français auprès du tribunal. Il est chargé de requérir l'application de la loi, pour la sauvegarde des intérêts généraux de la société, donc de toute la collectivité.

Danielle Ringot a mission d'effectuer une enquête à charge et à décharge en concertation avec François Sottet, ainsi que des services de police, d'expertises médico-légales ou judiciaire. Elle est supposée apprécier les demandes d'actes des avocats de la défense ou de la partie civile. L'ordonnance de non-lieu signifie que son enquête n'a pas abouti à des charges suffisantes pour poursuivre quiconque.

Le premier constat est que Monsieur Sottet a retenu une information minimaliste contre X des chefs d'atteinte sexuelle sur mineur de 15 ans par personne ayant autorité, corruption de mineurs et diffusion d'image de mineurs à caractère pornographique, alors que la plainte déposée en Belgique par l'ONG Morkhoven sur le même réseau expose "attentats à la pudeur, viols, violences, menaces, tortures, commis sur la personne de mineurs, enlèvements, corruption et prostitution de mineurs, publication et diffusion sur tous supports, notamment par le biais d’Internet, de photographies, films et textes, d’ordre pornographique, de nature à révéler l’identité de victimes de ces infractions, publication et diffusion, notamment par télécommunications (Internet), d’offres de services à caractère sexuel, ayant un but lucratif direct ou indirect, faisant état de services proposés par des mineurs ou des personnes déclarées telles, traite des êtres humains et pornographie enfantine et, d’une manière générale, toutes infractions relatives aux actes de tortures et aux organisations criminelles.

Parties civiles (2)

Parmi les parties civiles, deux associations françaises, "Enfance et Partage" et "Enfance Majuscule", qui n'ont pas trouvé opportun de prévenir le Werkgroep Morkhoven de l'urgence de se constituer partie civile aussi, pour assurer une instruction sur base d'un dossier complet. La juge Ringot est une de ces personnes dont la supériorité est telles qu'elle ne peut rencontrer les parties civiles, dont certaines n'ont jamais eu accès au non-lieu de leur propre dossier.

Patricia Poupard est alertée de la présence de son fils sur le fichier par un procureur suisse, Bernard Bertossa, qui lance une commission rogatoire pour la faire venir à Genève, alors que les lois internationales inhérentes à la territorialité ne l'en autorisent pas. Cette invitation entérine le "piège suisse", qui consiste à faire croire aux victimes des magistrats corrompus qu'elles peuvent obtenir un asile politique en Suisse, ce qui est un mensonge pour les ressortissant d'état de droit. Les magistrats corrompus couvrent alors des fausses erreurs judiciaires, escroquant les victimes en leur absence. Elles sont jugées par défaut, objets de mandat international et arrêtées par INTERPOL. Toutes les mères plaignantes ont été incarcérées pour enlèvement parental.

Résumé du réquisitoire (3)

La juge Ringot assure que la découverte de l'affaire Zandvoort a été exposée le 24 février 2000, à partir de la publication d'un article par le quotidien "l'Humanité", faisant fi de l'assurance de Jacques Chirac, le 21 avril 1999, qu'il avait remis le dossier à Elisabeth Guigou. La juge Ringot a rassemblé :

470 des 572 portraits d'enfants réalisés par la police de Kennemerland en Hollande à partir du premier CD-rom, pour la réalisation d'avis de recherche, photocopiés à la supérette du village de Morkhoven de l'ONG et remise en 1999 à Serge Garde, journaliste à l'Humanité, par Marcel Vervloesem, qui est le directeur des enquêtes de l'ONG Morkhoven.

* Une copie fragmentée du premier CD-rom, remise à Serges Garde par Gina Bernard, collaboratrice de l'ONG, peu avant son meurtre, le 14 novembre 1998.
* Les fichiers clients/personnel partagés entre les réseaux d'APOLLO à Zandvoort, du CRIES à Bruxelles, et SPARTACUS à Geel, en Flandres, ainsi que le carnet d'adresse de Robby Van Der Plancken remis à Serges Garde par Marcel Vervloesem.
* Une deuxième copie fragmentée du même CD-rom remise à l'association suisse CIDE par Gina BERNARD, manifestement aussi avant son meurtre en 1998, et qui l'a remis à la justice genevoise.
* Une troisième copie fragmentée du même CD-rom remis par l'association "le BOUCLIER", dont le président sera également tué dans une "chute d'escalier".

Le plus remarquable est de constater que l'instruction ne se fait que sur un seul CD-rom de 8700 photos de torture, viols et pédopornographie, alors que le fichier complet comporte 93'081 photos, selon INTERPOL, qui en déduction des doublons, sont 88'539 photos uniques, dont 70% sont clairement criminelles, selon la police fédérale belge.

Toutes les comparaisons ont été "minutieuses", et les recherches "approfondies", selon la juge Ringot, pour qui les 80 enfants reconnus à la page 3, deviendront 81 enfants à la page 5. Ses recherches "approfondies" ne lui permettent pas d'orthographier correctement le nom de l'auteur de l'enquête qui a mené à la découverte du réseau et à qui Ulrich a remis le premier CD-rom. Marcel VERVLOESEM devient VERVLOESSEN. Il aurait confectionné le premier CD-ROM à partir du disque dur d'un des ordinateurs d'Ulrich lors d'un "cambriolage", selon une vérité judiciaire très originale, comme s'il n'eut pas été plus commode de voler l'ordinateur lors du "cambriolage".

Il y a en réalité une volonté d'obturer le travail de l'ONG, célèbre en Flandres pour ses actions depuis 1988. VERVLOESSEN aurait simplement été le "président d'une association enquêtant sur la disparition d'enfants", alors qu'il était le porte-parole d'une ONG qui avait été à la une de la presse internationale en 1998, quand il a exposé les réseaux pédocriminels de Temse en Belgique, Madeira au Portugal et Zandvoort en Hollande.

La juge fait planer une confusion entre les frères Van Gasselt. Elle attribue à un mort la propriété exclusive du fichier clients/personnel partagés par trois branches démantelées du réseau CRIES, SPARTACUS et APOLLO, toujours actifs par l'intermédiaire des membres qui ont échappés à la prison ou qui en sont sortis. Petrus Van Gasselt reconnaît le fichier utilisé par feu son frère, Léo Van Gasselt l'amant de Ulrich dont il a fait son légataire universel et était mort d'un cancer en 1997.

Une autre originalité, sachant que Ulrich a été assassiné par Van Der Plancken avec le pistolet de Patrick Busquet, est le Procureur Sottet, qui est supposé requérir l'application de la loi, n'a pas pu retenir de charge contre lui, par exemple pour la possession d'armes sans permis de port d'arme.

A la page 5, paragraphe 4, le nombre réel de portraits d'enfants figurant sur les avis de recherche lancés par la police de Kennemerland : 572. On comprend que le dossier aurait été mis à la poubelle, si sur les 81 enfants reconnus et objets d'intimidation pour abandonner les charges, 21 de ces enfants n'avaient pas été trouvé par Serge Garde, donc protégés par la presse.

Si cet incroyable non-lieu est un tissu d'altération de la vérité, on y trouve toutefois la trame de la branche française du réseau, que nous vous inviterons à découvrir bientôt.

1 commentaire:

  1. Quels sont les noms de ces 342 magistrats et hauts fonctionnaires pédophiles?
    Sont-ils toujours dans la justice ?
    Les affaires jugées par ces magistrats ne protégeront pas vos enfants

    RépondreSupprimer