Les deux pédo criminels : père et fils qui prostituent les deux enfants
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Pédocriminalité organisée et solutions bancales des magistrates du Ladies' Club
Le juge Annie Harvengt, membre senior du Ladies’ Club, jugea que l’hymen coupé d’une des petites filles, n’était pas un élément suffisant pour les protéger en attente des procédures pénales, que le juge d’instruction Frédérique Lefèbvre est supposée instruire à l’encontre de Rocco et Roberto Antonini, accusés par les enfants.
Conformément à la procédure mise en place par le réseau, la juge Véronique Laloux a lancé un mandat d'arrêt européen à l’encontre de Maria Pia Maoloni, pour enlèvement d'enfant pour une période de plus de cinq jours. La justice italienne a anéanti ces accusations, en reconnaissant que seuls trois jours s’étaient écoulés au lancement du mandat. Le voyage en Italie de la mère et de ses filles n’était donc pas constitutif d’enlèvement parental.
Le réseau ayant main mise sur la presse, offre pour avantage de transformer certaines de ces magistrates en héroïnes. Frédérique Lefèbvre et Véronique Laloux viennent d’envoyer huit trafiquants de cocaïne présumés en prison. Ceci doit expliquer pourquoi l’une n’a pas eu le temps d’instruire le dossier à charge de ceux que Fiona et Milla accusent d'abus sexuels, où l’autre d’anéantir le mandat à l’encontre de leur mère, afin qu’elle puisse rentrer en Belgique sans être incarcérée en l’attente de la reconnaissance de son erreur judiciaire.
L'extraordinaire est de constater que la maffia a autorisé l'arrestation de l’inspecteur Gabriel Ekueta du Service d'Enquête et de Recherche (SER), qui aurait fournis des informations aux trafiquants pour leur permettre de se préparer aux perquisitions. Que leur est-il arrivé pour laisser enfermer un flic aussi utile, par des magistrats suffisamment impressionnables pour bloquer l’affaire Maoloni/Antonini ? Devenait-il trop gourmand où au contraire, mettait-il leurs affaires en danger ? Nul ne le sait.
Le 16 avril 2008, le juge Annie Harvengt était soutenue par Sandrine Dehalu, substitut du Procureur du Roi à Mons. Les grands-parents maternels demandaient leur droit de revoir leurs petites filles, mais les magistrates se sont opposé à la requête, exigeant la présence de la mère au tribunal, donc l’application de l’erreur judiciaire de Véronique Laloux !
L’an dernier, Sandrine Dehalu expliquait à la presse que les services étaient surchargés, les structures dépassées ou inadéquates...
Extrait de la Libre Belgique du 25 avril 2007: "On en est réduit à bricoler des solutions bancales. A chaque fois, c'est une petite bombe à retardement." Sandrine Dehalu est substitut du parquet de Mons. Dans son agenda du jour, entre deux audiences et réunions, il y a un dossier d'enlèvement international. Mais elle a trouvé malgré tout du temps pour rejoindre ses collègues présents en masse au palais de justice. Comme eux, elle s'astreint à déminer ce qu'elle peut. Avec ce problème récurrent : la prise en charge. "On travaille de plus en plus à l'envers. A la limite, avant de se lancer, on téléphone au juge pour savoir quelles sont les possibilités."Considérant le nombre d'accusation d'enlèvements parentaux dans la ville provinciale de Mons, on peut en déduire que surchargées, ces dames en ont été réduites à bricoler une solution bancale pour Fiona et Milla, dont elles auront traité le dossier entre deux audiences et réunions. Elles auront alors "travaillé à l'envers", en téléphonant au juge Annie Harvengt pour savoir "quelles étaient les possibilités." Bienvenue au Ladies' Club !
LETTRES OUVERTES
1) LES GRIFFES DU SERVICE DE PROTECTION JUDICIAIRE DE...
LETTRE DE MAOLONI MARIA PIA A Mr TAOUFIK BENSAIDA,
EN REPONSE A SON RAPPORT DU 14-01-2009
Direction générale de l’Aide à la Jeunesse,
Service de protection judiciaire,
Monsieur BENSAIDA Taoufik,
Grand-Rue, 67-69
7000 – MONS (Belgique)
spj.mons@cfwb.be
Italie, le 14 février 2009
Monsieur,
(.....) Vous utilisez ABUSIVEMENT votre pouvoir pour nier les faits d'abus sexuels sur mes enfants et pour m'empêcher de m'exprimer en toute liberté sur les gigantesques anomalies de ce dossier.
(....) Votre rapport, comme d’ailleurs tous les précédents que vous m’avez envoyés, est une défécation qui exprime votre lâcheté et aussi votre incompétence (.....) Je me permets de vous raffraîchir la mémoire en vous rappelant que le grand-père paternel, Antonini Roberto, a été inculpé, le 19.12.2008, par le Tribunal de Fermo en Italie pour les mêmes faits que j’ai relatés dans mes plaintes (en 2004 et en 2006) relatifs aux viols sur mes enfants, prostitution enfantine et détention de matériel pédo-pornographique, à charge AUSSI du père, Antonini Rocco. Le grand-père paternel, étant italien, a pu être poursuivi par l’Italie. Si le père ne l’a pas été, c’est uniquement parce qu’il est de nationalité belge et qu’à l’époque (en 2007), l’ex-Ministre italien de la justice, MASTELLA n’a pas signé la rogatoire internationale pour pouvoir enquêter en Italie sur le père.
C’est la raison pour laquelle mon avocat italien, Maître Taormina et moi-même avons porté plainte contre MASTELLA pour omission grave d’actes officiels. Avec cette dernière décision du Tribunal de Fermo, le grand-père paternel est donc renvoyé au jugement ; cela signifie qu’il sera jugé sur les faits précités en Italie, le 08 juillet 2009. De même, mon avocat et moi-même avons déposé une requête auprès du nouveau ministre italien pour la rogatoire internationale contre le père.
Je ne suis donc plus SEULE à dénoncer les violences sexuelles que subissent mes filles par ces criminels! (....)
N.B. : Cette lettre est envoyée par email et par recommandé à :
- Monsieur Mr BENSAIDA TAOUFIK Directeur de l'aide à jeunesse et du service de protection judiciaire de Mons (Belgique). taoufik.bensaida@cfwb.be ,
- Monsieur
Stefaan De Clerck
, Ministre de la Justice – Belgique ;- Monsieur
Melchior Wathelet
, Secrétaire d’Etat à la Politique des familles ;- Monsieur
Steven Vanackere
, Ministre de la Fonction publique, des Entreprises publiques et des Réformes institutionnelles- Monsieur
Bernard De Vos
, Délégué Général de la Communauté Française aux droits de l'enfant.
2) MES ENFANTS AUX DROITS BAFOUES : QUE FAIT LE DELEG...
Monsieur DURVIAUX S
Conseiller pour le Déléguégénéral aux droits del’enfant,
Rue des Poissoniers, 11-13,bte
51000 BRUXELLES
E-mail : dgde@cfwb.be
ITALIE, le 30 avril 2008
Concerne : La situation de mes enfants, Fiona et Milla ANTONINI
Monsieur,
Votre lettre du 08 avril 2008 m’est bien parvenue et a retenu ma meilleure attention.
Vous êtes le conseiller du Délégué général de la Communauté Française.
Par conséquent, vous représentez le garant des droits de l’enfant et votre fonction est le symbole de la protection et de la sauvegarde de l’enfance.
Vous vous êtes engagé à protéger les droits des enfants et à les faire respecter.
Permettez-moi de vous exprimer ma profonde indignation, Monsieur !
Votre lettre et le non-sens de vos propos sont incohérents avec votre mission qui représente pourtant une mission noble à mes yeux et à ceux des citoyens !
En effet, vous parlez de « médiatisation de la situation » qui serait la cause du refus des contacts avec mes enfants. Mais cela ne vous heurte – il pas ?
(.....) Mes enfants ont des droits que l’on doit respecter : ce ne sont ni des objets sexuels ; ni une propriété privée exclusivement réservée à la famille paternelle et au SPJ de Mons.Mais enfants ne doivent pas non plus être prises en otage à travers le prétexte d’une « médiatisation de la situation » !Cette excuse va à l’encontre de l’intérêt supérieur de mes enfants et leur fait violence !
Enfin, je vous demanderai, à l’avenir, de ne plus me parler d’ «intérêt » de mes enfants (....)N.B : cette lettre est envoyée, par recommandé AC, à Monsieur DURVIAUX S., Monsieur DE VOS B., Délégué général aux Droits de l’Enfant
Monsieur DE VOS explique : L'exemple, c'est nous
Exemple à ne pas suivre ..... évidemment !!!!!
et à Madame TRIFAUX C., sa collaboratrice.
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