Selon un article publié par COSAL :
"A Bastia un avocat du nom de "De Casalta" a détourné 1 million six cent mille Euros.COSAL SYNDICAT AVOCAT LIBERTAUne affaire passée sous silence, car, comme dans la précédente affaire - celle de la CARPA de Rodez - c'est l'Ordre des Avocats qui a été condamné par la Cour d'appel de Lyon à rembourser le trou (selon trois arrêts rendus le 28 septembre 2008).
La cause ? encore une fois, un défaut de surveillance...
Après d'âpres négociations, comme seuls les Bâtonniers en ont le secret dès lors qu'il s'agit d'étouffer une affaire, il a été convenu, selon un protocole d'accord tenu rigoureusement confidentiel, que la Conférence des Bâtonniers collecterait, via le Conseil National des Barreaux, la modique somme de 910.851,54 euros auprès des "grands barreaux" et que le Barreau de Paris réglerait la différence, soit 685.832 euros.
Seuls les grands barreaux ont donc été mis à contribution...
Quant aux membres du "Conseil National des Barreaux" - ils ont été maintenus dans l'ignorance de cette bien fâcheuse affaire...
Bien entendu, comme de juste, aucun syndicat d'avocats, sauf le COSAL n'a jamais publié la moindre information, le black-out devant demeurer total...
Avec le président actuel de l'Union Nationale des CARPA (UNCA), aucun risque de fuite : il n'est autre que l'inénarrable Bâtonnier Bernard VATIER.
Ne s'agit-il d'ailleurs pas d'anecdotes que les avocats du commun état n'ont pas à connaître... ?
Et l'essentiel n'est-il pas qu'ils continuent à croire au dogme de l'infaillibilité des Bâtonniers ?
1.596.683 euros à régler pour sauver l'Ordre des avocats de Bastia de la noyade et la profession du ridicule.
Que l'on se rassure ! il s'agit d'un "prêt d'honneur", assorti d'une clause de "retour à meilleure fortune".
Pour le cas où l'on retrouverait Maître de Casalta, qui pour l'heure est sans domicile connu et semble bel et bien avoir définitivement pris le maquis., peut être en SEINE SAINT DENIS.
Le Bâtonnier de l'époque non plus.
D'ailleurs, sur le site de l'Ordre des avocats de Bastia, ne peut-on toujours pas lire que la CARPA "garantit la représentation des fonds par tous les avocats"... ?
Quant à l'Ordre des avocats de Bastia, il s'est pourvu en cassation, mais c'est désormais l'Ordre de Paris qui a la direction du procès...
Et évidemment, avec les surdoués du Conseil de l'Ordre des Avocats de Paris, ça change tout..."
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